photographes 2024

Découvrez les 16 photographes
VENUS POUR VOUS SURPRENDRE

Ils viennent :

 d’ALLEMAGNE , de CHYPRE , de FRANCE , de GRANDE  BRETAGNE , des PAYS-BAS

1_DOMINIQUE-AGIUS
Alain Caille les 400 coups
4_DORIS-CHATAIGNER
5_KARINE-CHAVAS
CHEVALLIER
.
7_ Régis Domergue
8_MELUSINE_FARILLE
8_MELUSINE_FARILLE
KZYZZYN
11_LAZA
.
12_CATHERINE-LEFORT
13_MONCH
14_ALAIN-RIVIER-LECOEUR
15_MICHEL-STEFANINI
16_MARCEL_VAN-BALKEN
Diapositive précédente
Diapositive suivante

Dominique Agius est à la fois portraitiste, enseignant d’université, conférencier, formateur, et s’affirme désormais comme artiste photographe.Il a déjà plus de 50 expositions et de nombreux prix à son actif.

Directement inspirée des peintres tels que Caravage et De La Tour, cette série aborde des sujets récurrents de la peinture baroque

Les études de Dominique Agius lui ont permis d’étudier l’Art et de ressentir un immense respect et une profonde admiration pour les Maîtres classiques de la peinture. « VANITÉ » est un hommage à ces artistes qui ont tout appris et nous ont tout transmis. ».

Né en 1957 à Lille, Alain CAILLÉ a vécu à l’ombre du château de Robersart à Wambrechies, autrefois une école.

Il commence la photographie vers 18 ans en prenant des clichés d’insectes et de fleurs avec un Zénith FM.

« La série présentée est née à la suite d’une conversation avec mes petits-fils, Jonah et Yanis, au cours de laquelle je leur racontais les bêtises que l’on faisait quand j’étais enfant.

C’était le temps de la télévision en noir et blanc, Thierry la Fronde, la Piste aux Etoiles… Celui d’un bout de carton fixé à la roue arrière du vélo…

C’était la semaine des 4 jeudis, c’était l’insouciance, l’innocence… C’était le temps des 400 coups… Il n’a pas fallu longtemps pour que l’on démarre la série avec eux ! »

 

«Pour Doris Châtaigner la photographie, est une source d’émotions qu’elle cherche à exprimer.Les choses ne sont pas nécessairement ce qu’elles semblent être à première vue.

Particulièrement sensible au flou, à l’abstrait pour la poésie et le mystère qu’ils expriment Doris Châtaigner dans cette quête de l’expression sensible de l’invisible, propose des images qui sollicitent notre imaginaire.

Dans son travail de recherche photographique, Karine Chavas veut sortir de l’esthétisme de la photographie traditionnelle.

Elle s’approche de la facture de la peinture sans toutefois vouloir l’imiter.

Karine Chavas se plait dans ce noman’s land qui veut effacer la technique au profit de l’émotion avec une ambiguïté volontaire quant au support utilisé.

Racines, écorces, vieux murs, pierres, tâches deviennent autant de visages, formes anthropomorphiques, paysages expressifs tout en restant approximatifs. « Elle laisse ainsi une grande part d’interprétation personnelle au public ».

Diplômé des arts décoratifs de Strasbourg en 1995 (actuelle HEAR). Directeur artistique et associé dans une agence de communication strasbourgeoise. La photographie a été ma première passion et ne m’a jamais quitté. D’abord argentique puis numérique elle m’a accompagné durant toute ma vie professionnelle.

En 2019 j’ai eu envie de revenir aux racines de ma photographie. Retrouver un contact intime avec ce médium. Un besoin de me reconnecter avec mes sensations et de trouver du sens dans une recherche personnelle.

Mes aspirations sont multiples : portrait, reportage, nature morte, architecture… Chaque projet me permet un peu plus de cerner mon univers.

ENGEL

Il est à la fois messager, possesseur de nos âmes, divin et humain. L’ange se place entre la vie et la mort, le bien et le mal. Figure universelle, à la fois contemporaine et désuète, il peuple nos cultures et nos croyances. Archanges, trônes, séraphins, chérubins… anges bienfaiteurs ou exterminateurs, ils représentent nos peurs et nos aspirations.

J’ai souhaité réaliser des images comme des icônes. À la fois contemporaines et empreintes de classicisme, des miroirs de nous-même.

 

Régis Domergue, photographe et vidéaste commercial, travaille de concert avec Théophile Quincampoix de Guinguois, un être étrange, tombé d’un nuage, égaré dans un monde qu’il ne comprend guère. Bien que présent sur une seule photographie de cette série, ce dernier est le miroir du premier et imprime sa présence même en cas d’absence. Ensemble, ils créent des mises en scènes surréalistes, absurdes et poétiques. 

L’un est le rêve de l’autre tandis que l’autre est la réalité du premier. L’un ne va pas sans l’autre mais l’autre sait se débrouiller seul. 

Les paysages du Pic Saint-Loup, de bords de mer ou encore des Cévennes, et les nombreux accessoires récurrents qui apparaissent et disparaissent au gré des mises en scène, servent de décor et d’argile au modelage de leurs créations poétiques et énigmatiques. En malmenant les certitudes et les évidences, l’auteur tutoie la liberté.

Son intérêt pour la création a débuté toute petite, mais c’est en 2018 que Mélusine Farille découvre la photographie. Depuis, son univers tantôt poétique, humoristique ou engagé se développe à travers ses clichés.

L’artiste a commencé à créer des diptyques en avril 2020. Sa démarche était d’inviter à l’imaginaire au travers d’images réelles. Cette première série raconte ses émotions du premier confinement, où elle a décidé d’entamer un voyage immobile à travers ses anciens clichés, juxtaposés avec ses photos de confinée. Les images se sont ensuite succédées avec cette même volonté de créer des illusions avec des images réelles.

Féebrile, née en 1986, à Lyon, est photographe autodidacte depuis 2006. L’autoportrait est le centre de son œuvre. Elle vit et travaille actuellement à Belfort. Féebrile a puisé dans la photographie une force avant d’en faire un art. Dans ses images.

Dans ses images cathartiques, elle crée, mélange des personnages évoluant dans des saynètes à la fois drôles et étranges, oniriques et érotiques. Et dans cette lumière peuplée d’ombres qui font référence aux grandes heures du cinéma muet, nous pouvons suivre une Alice aux pays de ses cauchemars les plus intimes.

Féebrile s’est construit son propre univers afin de pouvoir y faire vivre son corps – nu, grimé, déguisé, transformé, mais restant toujours elle-même. Son corps ainsi libéré et mis en scène peut enfin nous raconter les histoires qu’elle n’aurait su exprimer autrement. Pratiquer l’autoportrait est pour elle un véritable langage où son corps est tel un journal intime.

Photographe engagé, Patrick Forger est spécialiste de l’environnement, de la sécurité civile et de la vie des terroirs. Depuis 30 ans, il pose son regard curieux sur le monde.

Ses reportages sont publiés aussi bien en France qu’à l’international. En 2007, il fonde le collectif de photographes SagaPhoto.

En 2009, Patrick imagine le projet artistique « Terre Fragile ». L’exposition s’invite alors dans les écoles et devient le support d’une réflexion collective sur l’avenir de notre planète. 

A l’occasion de la COP21, une sélection de ses images a été retenue par La Poste pour le carnet de timbres collector « Agissons pour le climat ». 

Ses œuvres s’inspirent de l’impact du réchauffement climatique sur notre planète.

Entrez dans un monde captivant d’art qui mêle le charme de la photographie à l’ancienne
avec la magie des décors théâtraux. Dans cette collection, Andrey Kezzyn vous invite à
explorer un univers où réalité et rêves s’entremêlent, et où chaque cadre raconte une
histoire unique en son genre.

En adoptant le thème « Entre Rêve et Réalité », l’exposition est un voyage artistique qui relie
les tableaux classiques à la vie contemporaine. Des scènes reconnaissables de célèbres
chefs-d’œuvre se mêlent à des récits modernes, créant un pont entre le passé et le
présent.

Dans un monde rempli d’altérations numériques, cet art célèbre la beauté de l’authenticité
brute, capturant des expressions sincères et l’essence intemporelle des émotions
humaines.

Anna Laza a passé son enfance dans la maison de sa grand-mère en Roumanie, au pied des Carpates.

L’observation de la nature, des paysages a influencé sa compréhension de la beauté de la terre sa connexion de l’homme avec elle et définitivement orienté son travail photographique que ce soit dans le domaine de la mode autant que pour ses travaux personnels.

C’est un processus infini et harmonieux. Les Hommes viennent de la terre, vivent sur la terre et retourneront à la terre. Les paysages de la terre sont visibles dans les courbes du corps.

Après des études de danse classique au conservatoire, Catherine Lefort étudie la photographie aux Beaux-Arts de Metz.

En 2012, elle reprend la photographie sérieusement, elle aborde de nombreux sujets et expose ses clichés sous forme de séries.(Instants tannés ; sont l’envers du décor – Les coulisses de la danse – La salle d’attente – Les deux font la paire…).

“Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent.” Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince  

Que faisons-nous lorsque nous attendons. 

 La situation d’attente n’est que rarement de notre fait….

Imaginons un instant que personne ne nous regarde, que nous ayons la possibilité de laisser la place à l’enfant, au clown qui est en nous ?

L’humain – ses questionnements fondamentaux, ses doutes, ses expressions – Monch les cherche dans les formes aléatoires de la matière photographiée et ses mélanges. C’est un travail à l’instinct. Il se plait à dompter l’accident dans une démarche qui veut sortir de l’art confortable.

Effacement, déstructuration, expressions humaines intenses, matières viscérales, dissolution dans le minéral et/ou végétal, sont des thèmes omniprésents… qu’importe le pourquoi, il fait juste ressortir ce qu’il y a de plus profond en lui avec le plus de spontanéité et de sincérité possible. Si son langage est compris, chacun ensuite, pourra voir sa propre sensibilité, sa propre histoire… son intimité, par simple effet miroir.

Esthétiquement, Monch oriente son travail photographique vers une plastique proche de la peinture, du dessin, de la gravure. Il aime à cultiver l’ambiguïté sur la nature réelle du medium utilisé. De ce fait, le public s’interroge souvent, se trompe parfois.

Cette ambiguïté, mêlée à une écriture personnelle, met en valeur l’étrangeté, la poésie, l’émotion… et le doute ! Un cocktail aux effets insoupçonnés qu’il souhaite faire passer dans ses images…

© Portrait de MONCH Monch_par_Pierre-Mary_Armand

 

La pierre, la terre comme liens et liants de l’humanité.

Alain Rivière-Lecœur commence sa carrière de photographe à New York dans les années 1990, il travaille et vit actuellement à Paris.

Grâce à ses multiples rencontres avec des artistes de tous horizons et ses diverses expériences en tant que grand voyageur, reporter, céramistes et amoureux du mouvement, il a pu expérimenter et explorer par la photographie ces nombreux domaines.

Il s’intéresse à la matière terre, à la glaise, à la pierre liens et liants de notre humanité, de notre univers.

Il a exposé à Paris, New York, Milan, Arles, Shanghai…

Ces créatures sont l’esprit de la forêt, à la fois réelles et imaginaires, mi végétales, mi animales, mi humaines, parées de leurs plus belles chevelures faites de racines, d’écorces…

Ces rapaces nous connectent avec le monde céleste…

Les personnages tels des Ents voyagent dans plusieurs mondes, ils viennent dialoguer avec la terre par leur ancrage au sol, avec le ciel…

Aucun montage photoshop ni d’oiseaux empaillés ni d’intelligence artificielle (IA), mais des émotions fortes, une équipe vivante et solidaire pour faire rêver en vrai !

Michel Stefanini est un artiste polymorphe. De ses installations monumentales, à ses œuvres intimistes, graphiques et poétiques, l’ensemble se nourrit d’une respiration commune.

Son œuvre serait vraisemblablement un tout, dont les parties hypothétiquement reliées, évolueraient dans un parcours autant prédestiné qu’aléatoire ?

Le Minotaure serait-il le miroir de nos propres agissements ? Illustre-t-il, en divaguant sans fin dans son labyrinthe, l’inquiétante étrangeté de notre humanité ?  

Cet être divergent, additionne, dans une errance sans fin, la somme de nos différences.

Les « photocalligraphies » de Michel Stefanini procèdent de cette pensée, où, les extractions, les emprunts, les métamorphoses, à l’image de miroirs brisés et indéfiniment reconstitués, nourrissent inlassablement de nouvelles interprétations.              

Le portfolio « Lost Memories » de Marcel Van Balken témoigne de sa vision artistique et de sa passion pour le surréalisme et le réalisme magique.

La combinaison de l’histoire réelle du lieu et des résidents disparus crée ainsi une nouvelle image presque poétique de souvenirs symboliques d’un temps passé. 

A chaque photographie, Marcel découvre un morceau du passé, créant une tapisserie presque poétique de souvenirs symboliques

« Lost Memories » nous invite à réimaginer ce qui a été oublié, à embrasser le surréalisme et à chérir la beauté qui réside dans la décadence du temps.